Les fragments d’un destin mort
Le 12 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un apaisement oppressant. Les principes de sécurité, en général stricts, avaient vécu désactivés pour favoriser l’analyse du calme. Tous les relevés affichaient des niveaux normaux, aucune panne, aucun glacier sur les circuits, aucune perturbation électromagnétique. Pour